28 avril 2007

belle journée 28/04/07


aujourd'hui départ à 7h30 objectif : chasser la morille !!!à la barrière quelques voitures mais bon je suis motivé et ça s'est avéré payant puisque j'ai cueilli 750 gr, de belles et grosses morilles noires,ahhhhh ca fait plaisir demain j'y retourne, et cette fois ci je prends le vélo

26 avril 2007

un soir de semaine...26/04/07

  • frustrant de travailler alors que plein d'acharnés errent dans nos forets
  • ecoeurant de se déplacer dans un coin déja ratissé....par des gens bien intentionnés
  • par les sentiers, j'ai bien roulé puis bien marché mais c'était tard..
  • il allait bientôt faire noir , quel désespoir !!!!
  • quelques petis chapeaux foncés m'ont fait vibrer ...
  • mais par malheur pas assez, tant pis je reviendrai
  • bientôt !!!!!

21 avril 2007

la famille 21/04/07



mon oncle te ma tante , des chasseurs de morille aussi....

un peu d'histoire .....21/04/07

Ce champignon au chapeau alvéolé et au pied épais et renflé, fait partie de la famille des coniques morchellacés. Amatrice de terres sabonneuses, la morille pousse volontiers dans les bois et les montagnes. Elle se plaît davantage sur les terres bouleversées, ce qui explique que les plages normandes s'en sont vues remplies au printemps 1945, après les bombardements.

La morille est un champignon des pays tempérés. En France, on en trouve surtout à l'Est et au Sud-Est de la France ainsi que dans le Périgord et en Corrèze. On la trouve également en Turquie et dans certains pays de l'Est.

Il en existe une trentaine de variétés, relativement semblables et difficiles à reconnaître les unes des autres. Parmi les plus courantes, on trouve :
- la morille ronde ou blonde : elle se reconnaît à la forme typique de son chapeau, à sa belle couleur blond chaud, à ses alvéoles amples, à son pied cylindrique et court.
- la morille "vulgaire" : son chapeau est brun clair, le plus souvent conique, parfois arrondi ou ovale, creux à l'intérieur . Son pied est blanchâtre et sa chair légèrement ocrée.
- la morille conique : son chapeau est plus oblong et brun foncé, ses côtes plus épaisses et ses alvéoles mieux dessinées. C'est la plus estimée.

Enfin, sachez que sa saison est courte, elle commence à apparaître en mars et disparaît au fil du mois de mai...

degustation 21.04.07


Choisissez-la avec un chapeau et un pied ferme et sans tâches. Au toucher, elle doit être sèche ou veloutée mais surtout pas visqueuse. A l'unanimité, les meilleures sont les plus foncées, au pied court et au chapeau rond.

Conservez-la deux ou trois jours tout au plus dans le bas du réfrigérateur, au-delà, elle s'abîme et perd son fragile arôme. Pour la conserver plus longtemps, vous pouvez la plonger dans l'huile d'olive. Séchée, sur un plateau dans un four très doux, elle garde sa saveur toute l'année.

Ses alvéoles reccueillent facilement sable et insectes : difficile alors de faire l'impasse sur un nettoyage méticuleux. Pour cela, préparez un bain d'eau vinaigrée où vous la plongerez rapidement sans trop la secouer pour que les impuretés tombent au fond. Répétez l'opération une ou deux fois si nécessaire. Epongez-la soigneusement avec du papier absorbant.
Autre école, qui requiert un peu plus de patience : à l'aide d'un pinceau ou d'une brosse à dents souple, nettoyez avec soin chaque alvéole. Plus longue, certes, cette méthode permet de préserver au mieux son arôme délicat.

Consommez-la
absolument cuite car la morille crue est toxique. Avant de la faire poêler, braiser ou sauter, faites-la suer à feu doux, avec ou sans matières grasses, jusqu'à évaporation complète de son eau de végétation.

Elle est si goûteuse qu'une simple noix de beurre suffit pour s'en régaler. Cela dit, elle est aussi excellente dans une sauce à base de crème fraîche ou de vin de madère, et accompagne parfaitement les viandes blanches, notamment le poulet (de Bresse !) et le veau. A noter qu'il est préférable de l'ajouter 10 minutes seulement avant la fin de la cuisson. Elle développe ainsi tout son arôme et garde consistance.

Elle est si rare et délicieuse qu'il suffit d'en ajouter à des oeufs (brouillés, en omelette, mollets), à des pâtes ou dans un risotto pour les transformer en véritables plats de fêtes. Une petite quantité suffit à parfumer la préparation : pas besoin de se ruiner pour qu'elle fasse partie du dîner.

Enfin, lorsqu'elle est séchée, on peut la réduire en poudre ou la réhydrater, et l'ajouter ainsi aux sauces et jus de cuisson.

propriétés de la morille 21.04.07

Légère la morille ! Avec seulement 15 kcal/100 g, elle fait partie des végétaux les plus pauvres en calories, tout en étant très riche en goût. Limitez autant que possible l'ajout de matières grasses pour ne pas que cette petite éponge ne s'en imbibe. Notez aussi qu'elle est aussi l'alliée des transits paresseux, qu'elle active efficacement grâce à son abondance de fibres douces (3 g/100 g).

Valeurs nutritionnelles
pour 100 g
Protides 2,1 g
Glucides 0,5 g
Lipides 0,5 g
Calories 15 kcal

Ses petites alvéoles regorgent de protéines (2,1 g/100 g). Une présence certes moins significative que dans la viande mais en revanche nettement supérieure à celle des autres végétaux. Ces protéines ont l'atout de rassasier rapidement et durablement, mais surtout de donner à nos muscles une bonne dose de tonus. Associées à une forte teneur en minéraux et oligo-éléments (potassium, fer et sélénium avant tout), elle participe au renforcement et au bon fonctionnement de notre organisme.

Pour finir, la morille a l'avantage de renfermer une grande quantité de vitamines, notamment celles du groupe B, qui sont toutes très bien représentées. Notables aussi, ses fortes teneurs en vitamine E, antioxydantes, et en vitamine D, indispensables au bon développement de notre squelette.

Quelques prises....18.04.07


une belle cueillette 18.04.07













une autre belle cueillette 2006

mes errances en foret 15.04.07

15 avril : bonne pioche j’en ai trouvé un peu sous le pylone ( une trentaine ) mais il fait sec et je trouve que c’est un peu tôt pour la saison , mais il y a du monde à croire que notre coin est mondialement connu.

19avril : j’ai deux jours de congés, je vais en profiter pour y aller le matin mais la nature est tellement sèche et en avance que je suis monté au ................. pour voir et sous la barrière de ........,résultat 300 gr trouvés par çi par là mais un peu haut pour la période j’en ai profité pour aller repérer les coins que j’affectionne tant mais c’est encore trop tôt .

20 avril retour au ....... de ........e j’en ai trouvé quelques unes mais c’est sur la ligne de crête que je me suis régalé y en avait de partout , chaque pas fait dans ce petit quartier et c’est une morille qui montrait le bout de son nez total une centaine de morilles ( 560 gr dont une de 40 gr ( record à battre !!!! )

bingo la première 06.04.07

Ca y est je viens de cueillir ma première noire en dessous la maison , elle était toute seule abandonnée au milieu d’un chemin , isolé c’est d’illeurs toujours à cette endroit que je trouve ma première, je vais quand même monter au pylone voir si j’n vois pas 4…….

Les premiéres séchent sous les jambons .02.04.07


1 ere cueillette le 25 mars : soixante morilles dans une haie
2 eme cueillette le 2 avril : une trentaine sur un vieux chemin en dessous chez moi ( 150 gr )
3 eme cueillette de 19h à 20h le 6 avril , bonne pioche ( 813 gr ), pas mal !!!! sur le chemin du ........ ss la maison en amont et en aval du chemin , il serait d’ailleurs interessant de faire le tour des buissons par-dessous je suis sur qu’il y a moyen de faire …la suite au prochain épisode …..demain j’en amenerai un peu au boulot , et le reste on les mangera en omelette , pour l’instant c’est pas des noirs ….

présentation le 2.04.07


C’est ma 3 ème année de chasse à la morille, faut dire que c’est une activité plutôt sympa , marche, soleil, un bon casse croute, une bonne dose de patience et des yeux de lynx , il faut pas grand-chose pour s’éclater……Bref je vais tacher de comptabiliser les morilles cueillis sur cette année, je pense que pour un débutant , un urbain, un mec de la ville , je me débrouille plutôt bien d’ailleurs je tiens à remercier les anciens qui ont eu la patience de m’expliquer puis ma mère mon oncle et ma tante qui ont sans doute contribuer à l’éclosion tardive je le reconnais de ce plaisir unique que de trouver des morilles.

Et oui petit déjà j’arpentais les chemins boisés en quête de ce précieux sésame , c’est surement pour cette raison que j’aime pratiquer cette activité ou alors c’est génétique car ds ma famille on doit être cueilleur de père en fils d’ailleurs mes enfants ils y ont droit, et ils en trouvent, ils seront surement meilleurs que moi , ils auront un avantage c’est qu’ils n’auront pas à découvrir les coins , ils les connaitront déjà …….

2 avril 2007


Ca y est c’est reparti,un vieil opinel , un pochon ou des boites ( pour plus de précaution ) et en avant pour la chasse …. ; en plus ca tombe bien on a pas besoin de permis, , la seule démarche c’est d’aller récupérer un badge pour pouvoir circuler sur les pistes communales de mon village pour prendre de la hauteur et fouiner dans nos belles forets hautes alpines sans marcher pendant des heures comme tous ces furieux on y reviendra .